Presse

Concert du 10 juin 2017 Eglise Saint-Etienne de Mulhouse (L’Alsace)

 

 

Concert du 6 novembre 2016 Eglise Saint-Etienne de Mulhouse (L’Alsace)

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Concert du 7 juin 2015 Eglise Saint-Etienne de Mulhouse (L’Alsace)

LAlsace Le Motet critique concert Mulhouse juin2015Concert du 30 mai 2015 Temple de Guebwiller (L’Alsace)

concert Le Motet, de l’ombre à la lumière

L’ensemble vocal le Motet a fait découvrir la musique sacrée anglaise au temple de Guebwiller

Le 30/05/2015 05:00

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Fondé en 1979 par Joseph Mona, le Motet s’est de suite imposé comme une de très bonnes chorales de Mulhouse. Et il l’est encore aujourd’hui. Sous la houlette de Claire Decaux, il a monté un programme qui a été ou qui sera encore donné dans six communes, de Badenweiler à Mulhouse. Le temple protestant de Guebwiller était la quatrième étape de ce festival itinérant consacré à la seule musique sacrée anglaise, sur le thème : de l’ombre à la lumière. L’ombre, la première partie, c’était la musique ancienne, avec des compositions de William Boyce, William Byrd et Henry Purcell. La formation dirigée par Claire Decaux est équilibrée, avec des voix bien travaillées, bien moulées dans cette musique Renaissance et pré-baroque. Même s’il y a eu la célèbre musique funéraire pour la reine Mary, ce n’était cependant pas une musique particulièrement sombre. C’était le reflet d’une époque où la musique anglaise était encore très riche. L’accompagnement de Louis Patrick Ernst à l’orgue, et des cuivres et timbales de l’ensemble de cuivres de Saint-Louis Perspectiv’Brass, dirigé par Jean-Claude André (cinq trompettes, deux trombones, un tuba et des timbales) a, au contraire, donné plus d’éclat à cette musique plutôt brillante, notamment celle de Purcell. La deuxième partie se voulait « lumineuse », avec des compositeurs pas forcément très connus, à l’exception de Ralph Vaughan Williams. C’était la renaissance de la musique anglaise après deux siècles d’effacement. Le morceau phare de cette deuxième partie était All creatures of our God and King , dans deux versions. Celle de Ralph Vaughan Williams et celle de John Rutter, le seul encore en vie, qui y a ajouté trois strophes, le thème musical restant le même. De la belle ouvrage, qui a enchanté le public. À juste titre.

Concert du 14 mai 2015 Eglise de Rosheim

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Concert du 16 mars 2014 Eglise Saint-Léonard de Dannemarie
Felix Mendelssohn Op. 23 No. 1, Aria, « Bei dir gilt nichts 

Concert du 13 avril 2014 Eglise Saint-Etienne de Mulhouse

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LES DNA du 26 octobre 2012
Collégiale Saint-Thiébaut Le Motet en concert

Dimanche dernier, l’ensemble vocal « Le Motet » a donné un concert autour de la création de la cantate « Am Anfang » de Gérard Hilpipre (inspirée du chapitre I du Livre de la Genèse), ainsi que de quatre motets grégoriens et d’une messe de requiem.
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Une percutante ouverture à l’orgue, avec aux commandes Pascal Reber, a donné le ton de la cantate « Am Anfang ». Chaos, création du monde, et lyrisme en langue allemande ont ponctué une première partie étonnante. Les voix de la trentaine de choristes, dirigés par Claire Decaux, approriées à l’oeuvre, ont accompagné l’orgue, dans la violence des notes et dans leur apaisement. Jean-Bernard Arbeit, le soliste basse-baryton, a traduit la ferveur et l’émotion du livre de la Genèse. L’écrin de la collgiale s’est ensuite enveloppé de chants grégoriens de Maurice Duruflé avant que ne s’élève une pièce d’un prélude joué à l’orgue par Madeleine Will. Une magnifique messe de requiem de Jehan Alain a clos le concert : les voix qui se sont élevées alors vers les voûtes ont produit un instant rare et magique. L’ensemble le Motet a démontré sa capacité à oeuvrer dans des registres très différents. La collégiale conjuguée ce soir là aux choristes et aux organistes a envouté un public de connaisseurs. M.N.

L’Alsace du 20 octobre 2012

Thann : la collégiale charmée par le génie créateur alsacien

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Le Motet a justifié sa flatteuse réputation, dimanche, à la collégiale de Thann. Photo Maller.

Le Motet et le compositeur Gérard Hilpipre ont prouvé, dimanche à la collégiale de Thann, que le génie créateur alsacien était bien vivant.

Dans une collégiale « glacière« , le public qu’on eût espéré plus nombreux, a su apprécier les talents réunis des choristes du Motet et de l’organiste Pascal Reber, au service d’une belle cantate, point d’orgue d’un concert de grande qualité.
Claire Decaux, pour diriger cette cantate Am Anfang, décrit la naissance du monde avec un effet saisissant et imposant. Elle a déployé une interprétation solide, colorée, toujours attentive à une certaine modernité. Elle a créé un esprit de ferveur tant parmi le choeur que chez l’organiste Pascal Reber et le soliste Jean-Bernard Arbeit. Ce dernier, d’une voix aux couleurs sombres et profondes, a su accentuer ses qualités de récitaliste.
A l’orgue, Pascal Reber, entre douceur et une certaine austérité, a véritablement « spatialisé » cette cantate, avec des tonalités surnaturelles qui lui apportent son enthousiasme, sa sensibilité et sa virtuosité. L’organiste de la cathédrale de Strasbourg a également sculpté l’espace de la collégiale Saint-Thiébaut avec de chatoyantes couleurs sonores, avec un prélude tout en finesse, de Madeleine Will.
Si la cantate a constitué le plat de résistance du concert, les auditeurs ont également dégusté avec gourmandise quatre motets grégoriens, de Maurice Duruflé, dont l’un a mis en évidence un très subtil choeur de femmes, avant qu’un extrait de la messe de Requiem, de Jehan Alain, suscite une impressionnante ferveur. André Maller